Mémorial des policiers français Victimes du Devoir

« Il y a quelque chose de plus fort que la mort,
c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants. »

Jean d’ORMESSON

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Gardien de la paix

Ernest TRÉGON

Victime du Devoir le 10 février 1943

Département

Calvados (14)

Affectation

Sécurité Publique — Caen

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Circonstances

Cause du décès

Engin ou projectile explosifs

Contexte

Guerre — Terrorisme

Au cours de la matinée du 10 février 1943, alors qu’il s’active avec la Défense Passive pour prévenir et secourir les habitants de Caen (Calvados) d’un bombardement aérien de la Royal Air Force, le gardien de la paix Ernest Trégon, quarante-deux ans, est lui-même victime d’une bombe à retardement qui écalte sur l’Avenue Georges-Clémenceau. Ce bombardement qui ciblait des objectifs militaires allemands fit trente-sept victimes civiles et de très nombreux dégâts.

Biographie

Direction d'emploi

Sécurité Publique

Corps

Encadrement — Application

Type d'unité

Unité de Voie Publique — Service Général

Titres et homologations

MPF - Mort pour la France

Né le 24 juillet 1901 à Plouasne (Côtes-du-Nord, Côtes d’Armor) de Eugène Trégon et Joséphine Hamon. Epoux de Léonie Heurtault ; domiciliés au Clos Joli, N°37.
Mention “Mort pour la France”

Sources et références

Journal officiel de la République française, 25 avril 1943 (médaille d’or ACD) — Arch. Dép. Calvados, Caen, année 1943, acte de décès N°177.

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